Le samedi 22 juillet, un drame atroce a été révélé dans l’Essonne, au sud de Paris, lorsque le corps sans vie d’une femme de 44 ans, de nationalité béninoise, a été découvert caché dans le congélateur d’un appartement. Le domicile appartient à son compagnon, un ressortissant algérien, âgé de 47 ans, qui est désigné comme le principal suspect dans cette affaire et placé en garde à vue.
Les circonstances macabres de l’affaire ont commencé dans la soirée du jeudi 20 juillet, lorsque la mère de famille a été déposée chez son compagnon par l’un de ses enfants. Le lendemain matin, elle était introuvable et n’était pas joignable au téléphone. Inquiet, le fils s’est rendu chez le compagnon de sa mère, où il a été confronté à un homme alcoolisé qui a affirmé que la femme était déjà repartie.
Alertés par le fils de la disparue, les policiers ont interpellé le suspect le vendredi soir, découvrant qu’il était en possession d’une arme de poing et présentait des taches de sang sur ses vêtements. Le corps de la victime était toujours introuvable à ce stade, et une enquête pour « enlèvement et séquestration » a été ouverte.
Cependant, lors d’une perquisition menée samedi matin au domicile du suspect, les enquêteurs ont fait la macabre découverte : le corps de la femme était caché dans le congélateur de l’appartement. Le compagnon algérien a été immédiatement placé en garde à vue par les autorités.
Selon des informations du Parisien, la victime travaillait comme accompagnante d’élèves en situation de handicap (AESH) dans une école primaire, tandis que son compagnon était le boucher du quartier. Des amies de la victime ont révélé qu’elle avait exprimé sa volonté de mettre fin à leur relation il y a quelques jours, ce qui aurait déplu à son compagnon. Ils se seraient donné rendez-vous pour discuter, ce qui a tragiquement abouti à cette issue fatale.
L’affaire suscite une vive émotion dans la région, et les investigations sont en cours pour élucider les circonstances exactes de cette tragédie. Les prochains développements de cette enquête seront suivis de près par les autorités et la population locale.