Suite aux graves accusations portées contre Mme Ndéye Saly Diop DIENG, soupçonnée par Aissatou FALL, Coordinatrice des Khalifistes de Grand Dakar, de vouloir faire main basse sur l’aide alimentaire destinée aux familles démunies, les couches sociales de la commune sont montées au créneau pour rétablir la vérité des faits.
En effet, après avoir constaté que la seule volonté du Maire Jean Baptiste DIOUF, à travers un arrêté sommaire, exclusif et illégal était de copter uniquement ses militants dans les sous-comités de ciblage et de distribution de l’aide alimentaire d’urgence aux familles impactées par la pandémie du covid-19, les populations de Grand Dakar se sont réunies au sein d’un cadre appelé « comité communal de Veille et de vigilance pour la transparence dans la distribution de l’aide alimentaire à Grand Dakar pour dénoncer, avec la dernière énergie, une telle forfaiture qu’elles ne pouvaient en aucune manière laisser passer.
C’est ainsi que ces dernières ont officiellement saisi le sous-préfet en lui adressant une lettre de réclamation et de contestation.
La suite réservée à cette requête des populations n’a pas été du goût du maire Jean Baptiste DIOUF qui n’avait d’autres solutions que d’accuser Mme le ministre Ndéye Saly Diop DIENG d’avoir tordu le bras au sous-préfet de Grand Dakar, dans le seul but de faire main basse sur l’aide alimentaire destinée aux familles démunies, dans le cadre du Programme de Résilience Economique et Sociale (PRES), mis en place par le président de la République Macky Sall pour atténuer les conséquences de la pandémie du Covid-19, .
Des accusations naturellement battues en brèches par les populations de Grand Dakar qui ont tenu à rétablir la vérité des faits.
Composées essentiellement d’ASC, d’OCB, de Mouvement de jeunes, de membres de la société civile entre autres, ces forces vives de Grand-Dakar déclarent n’être intéressées que par l’exigence de la prise en compte d’une plus grande majorité de couches vulnérables réparties dans plus de cinq mille (5000) ménages, au moment où seules près de mille cinq cent (1500) ménages sont bénéficiaires des bourses familiales. Voilà la seule mission qui mobilise leur énergie, en dehors de cette guerre contre la pandémie du coronavirus.