« J’ai personnellement dirigé une mission de la Commission nationale des droits de l’homme qui a visité la villa où se trouve détenu l’ancien président. J’ai été installé dans un salon climatisé bien meublé devant lequel se trouve une salle de sport. Malheureusement, je n’ai pas eu accès au reste de la villa, et particulièrement à la chambre dans laquelle il se trouvait. Tout simplement parce qu’il n’a pas jugé cette rencontre opportune pour des raisons qui lui sont propres et que nous respectons », a rapporté Bouhoubeyni.