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Dans un échange qui a récemment fait le tour des réseaux sociaux, Badara Gadiaga, surnommé « le chroniqueur Sans BFEM », a été sévèrement recadré par le député Amadou Ba. Ce dernier a exprimé son indignation face aux analyses de Gadiaga, le qualifiant d’hypocrite sur des questions de moralité et d’intégrité.
Amadou Ba n’a pas mâché ses mots. Il a affirmé : « Une seule personne mérite de raser les murs : celui qui a falsifié ses diplômes pour obtenir un poste dans l’ancien régime pendant des années. » Une accusation lourde qui vise à rappeler à Gadiaga son passé et les implications de ses actes.
Le député a poursuivi en déclarant que, sur la base de ce faux diplôme, Gadiaga avait été licencié après la publication du rapport de la Cour des comptes. « Pour quelqu’un qui a falsifié ses diplômes, tu devrais te taire et raser les murs… » a-t-il ajouté, soulignant l’ironie de la situation.
Cette confrontation met en lumière non seulement les tensions entre les figures publiques, mais aussi les enjeux de crédibilité dans le paysage médiatique. Les réactions sur les réseaux sociaux vont bon train, certains soutenant Amadou Ba dans sa dénonciation, tandis que d’autres défendent Gadiaga.
Cette leçon d’humilité rappelle à tous l’importance de l’intégrité, tant dans la vie publique que dans les analyses et commentaires diffusés dans les médias. Les conséquences de la falsification et de l’hypocrisie sont désormais mises en lumière, laissant entrevoir un débat plus large sur l’éthique et la responsabilité dans le monde du journalisme et de la politique.

