D’aucuns évoquent des raisons de santé, d’autres des raisons professionnelles. D’autres, encore, ont soutenu qu’ils entretenaient des relations professionnelles ou personnelles avec les accusés. « C’est l’armée, n’êtes-vous pas tous collaborateurs ? » s’interroge le président de la chambre. « J’ai l’impression que personne ne veut s’engager dans cette affaire ». Finalement, les trois assesseurs et leurs suppléants ont été tirés au sort, mais il aura fallu descendre au grade de capitaine.