Le jeudi 11 août, un nouveau chapitre judiciaire s’ouvre à Dakar alors que l’ancienne masseuse de Sweet Beauty, Adji Sarr, se prépare à affronter l’architecte renommé Pierre Goudiaby Atépa devant le tribunal correctionnel. Ce face à face découle d’une plainte pour diffamation déposée par Adji Sarr contre Atépa, suite à des allégations faites par ce dernier lors d’une émission télévisée.
L’incident qui a déclenché cette affaire remonte au 11 juillet, lorsque Pierre Goudiaby Atépa a partagé une conversation qu’il aurait eue avec une responsable d’ONG. Cette personne aurait prétendu avoir été manipulée par Adji Sarr et aurait même accusé la masseuse d’avoir dérobé une bague en diamant. Ces affirmations ont incité Adji Sarr à porter plainte, exigeant une réparation financière de 50 millions de francs CFA.
Le tribunal correctionnel de Dakar sera le théâtre de cet affrontement judiciaire, où les deux parties présenteront leurs arguments et preuves respectifs. Le procès attirera probablement l’attention des médias et du public, compte tenu de la renommée des protagonistes et de l’importance de l’affaire.
Cette nouvelle affaire judiciaire soulève des questions importantes concernant la diffamation, la véracité des allégations et la protection de la réputation des individus. L’issue du procès sera surveillée de près, car elle pourrait avoir des répercussions durables sur les personnes impliquées et éclairer le débat public sur les enjeux de diffamation et de responsabilité.